AMOUR DE DIEU :
J’aime Dieu.
Comme il se doit.
Sans te trahire .
Dieu est notre amour.
Notre amour.
Est.
Notre.
Partie.
Divine.
AMOUR DE DIEU :
J’aime Dieu.
Comme il se doit.
Sans te trahire .
Dieu est notre amour.
Notre amour.
Est.
Notre.
Partie.
Divine.
AIMER :
Souffrir .
De la peur.
De l’être.
Aimer.
LE BONHEUR :
Bonheur inhabituel.
Préféré mourir.
Bonheur trop ample, trop grand.
Habit de clown, ridicule.
Le malheur me va si bien.
Le bonheur, essayer.
Un bonheur mêlé de …
Douleurs .
Souffrances.
Un effroyable bonheur.
Compromis, de peur d’être interdit.
Un bonheur que nous ne saurions être autrement.
Un bonheur.
Ambiguë.
Ambivalent.
Petit compromis avec la vie.
Mais le bonheur.
Essayer.
Apprendre.
Dompter.
S’habituer.
Eloigner la peur.
Ne pas s’enfuir.
Après avoir goutter.
Savourer.
Ce met interdit.
Dieu nous m’a soumise au malheur.
Puis en cadeau, m’a présenté le bonheur.
Cadeau empoisonné.
Puis m’a dit :
« fais en ce qu’il te plaît ! »
Ainsi responsabilisée, m’effrayer.
Comme un bébé fragile.
L’apprivoiser.
Ne pas être maladroit.
Ne pas avoir peur.
Accepter qu’il nous est autorisé.
Mon bonheur a commencé par s’appeler : Hippolyte
Il portera désormais ton nom aussi
Mon bonheur est fait d’os, de chair et d’esprit.
Mon bonheur, s’appelle : AMOUR.
C’est quand le bonheur.
Croire rêver.
Espérer plus que de vivre.
Un bonheur inouï.
je n'aurais connu que le malheur
un malheur dur
comme celui qui travail la terre aride
un malheur qui m'étouffe
un malheur où j'ai finis
par ne plus connaître
ni les larmes ni les rires
Ne jamais éteindre la flamme
sauver le jardin intime
ne pas céder
les droits de l'homme qui volent en eclat
toute tentative d'exister aneanti
les jolies mots
la loi accouchée d'un epoir de bonté
l'abilition de la peine de mort
l'espoir naif d'un monde meilleur
un monde a visage humain
écrit par des hommes mue
dans l'unique but d'un monde plus juste
la mécanique bien huilée
le masque universel
qui fait croire au monde que tout va bien
un grain de sable dans le systeme
et tout vole en éclat
le masque se fissure
les belles idées piètiné
le loup qui someillait se réveille
le bal des démasqués peut commencé
et ceux là ce n'est pas moi qui l'ai décidé
Je me souvient quand j'étais dans ta maison ou ta chaleur nous aidés a supporter le froid de la maison
je me souvient des vélos trop grand les fesse en l'air
je me souvient du blairo que j'avais vu en bas de la fenetre et qui me faisais tres peur
je me souviens de tout les matin ou tu me rapporter des sucette apres les course
je me souviens de mon frère qui me demandé quand il avais 4 ans si je savais ce que c'étais qu'une galaxie, je lui répondais avec mon boudin habituel
je me souviens de ma cousine avec qui je jouais
je me souviens du bonheur que je n'avais pas su reconnaître
je me souviens de l'amour, il y en avais tellement que cela me semblais naturel
je me souviens des poulade avec les zigotos du quartier
je me souviens de ses courses éffréné pour échapé au voyou du quartier cela nous amusé beaucou
l'hp sinistre avec le goût du bagne
se battre contre des murs
l'entendement muselé,
être captif de son corps et de ces murs
lutter contre des moulin à vent
comment l'homme peut il faire face au système
je suis laminée par le système
souffrir de mille et une façon
sans que justice soit faite
pour moi il n'y a jamais eu de coupable
l'amour fait germer les roses et les rivières
l'amour fait parfois déplacer des montagnes
d'autre fois érige des château de sable
dépendand de la marée
il y l'amour avec des chaines
l'amour avec des bouts de ficelles
il y l'amour pour l'amour
il y a l'amour par l'amour
il y a l'amour qui ne cesse de grandir
il y a l'amour qui s'épuise
il y a l'amour qui donne
il y a l'amour qui prend
il y a la sincérité inocente
il y a la séduction orgueilleuse
il y a des soleil qui promette tout
il y a des nuits sans étoiles
il y tout ou il n'y a rien
ma famille et moi ont versés
autant de larmes
pour fleurir le sahara
parfois la douleur submerge les pleurs
la source se tarie
de ces perles si précieuse
ne plus pleuré
sauf quand la berge craque
que dire de la souffrance
lorsque elle ne peut se soulager
je n'ai plus ni pluie ni ouragant
juste une douleur sourde
qui
ne peut se libéré
ma tête ne veut rien entendre a cette souffrance
mon coeur saigne et ma tête tente de rester droite
assommée par mes souffrances
je reste inerte
impuissante
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